Actuellement il n’existe pas de réponse claire et unanime quant à un protocole optimal de cryothérapie dans le milieu sportif. En effet, la cryothérapie est plutôt récente et il y a très peu d’étude scientifique sur ce sujet.
Toutes les études s’accordent à dire qu’après le choc thermique provoquée par la cryothérapie, il y a une augmentation notable et impressionnante de noradrénaline (ou norépinéphrine), 200-300% d’augmentation selon DR. RHONDA PATRICK. Cette hormone et neurotransmetteur est responsable de la réduction de l’inflammation, de l’augmentation de la fréquence cardiaque, l’activation de la thermogenèse (la production de chaleur), et de resserrer les vaisseaux sanguins… (pour lire l’étude, cliquez ici)
Je dirai qu’il serait intéressant de réaliser une séance de cryothérapie quelques heure avant l’effort pour augmenter la microcirculation et donc ressentir une sensation de légèreté dans votre corps. Cela permettrai d’augmenter les performance sportive. Elle limiterai aussi le risque de blessure. De plus, l’exposition au froid permet de ressentir une sensation de bien-être et de relaxation mentale et physique grâce à la libération d’endorphine. Cela peut-être interessant avant une compétition par exemple.
L’utilisation la plus commune et la plus connue est, en effet, celle post-effort. Une étude scientifique, ici, mentionne comme effets:
– meilleure récupération
– diminution de la douleur de 31%
– moins d’inflammation
– moins de lésion musculaire
… que des bienfaits recherchés par les sportifs pro ou amateurs.
Je vous inviterai donc à tester pour voir ce qui vous convient le mieux. Avant ou après ou les deux… tout dépendra aussi de votre budget.
De toute manière, la meilleure réponse sera celle de votre corps.